Jean-Pierre Lledo a en effet l’audace de revenir sur la guerre d’Algérie, non par la (grande) porte officielle mais par celle plus étroite mais ô combien plus juste et émouvante des gens qu’il a décidé de filmer, de rencontrer, de faire parler. Les Algériens que l’on découvre dans ce film n’ont pas la parole dans leur propre pays.
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