JP Lledo : Chacun de mes films a constitué un pas pour sortir de l’interdit en entrant dans le temple sacré pour en interroger les gardiens. J’ai pu sortir de l’inexprimable. Mes films sont des engagements humains, forcément douloureux. J’ai cette utopie de cinéaste de croire que ce qui est thérapeutique pour moi peut l’être pour d’autres.